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dc.contributor.authorAlashhab, Abdul Hamid
dc.date.accessioned2022-08-22T09:27:16Z
dc.date.available2022-08-22T09:27:16Z
dc.date.issued2022-07
dc.identifier.urihttp://dspace.elmergib.edu.ly/xmlui/handle/123456789/1321
dc.description.abstractLa violence familiale, notamment la violence faite aux femmes et aux enfants dans la société maghrébine de façon générale et en particulier dans la société marocaine est un phénomène, qui s’enracine dans les profondeurs de la tradition et de ce fait remonte à une période très reculée. Il ne s’agit pas d’épiphénomène, mais bien au contraire un mode de fonctionnement social où la discrimination fondée sur le sexe et sur l’âge fait de la femme et de ses enfants des biens appartenant au patrimoine du père de famille. Ainsi, après l’indépendance du Maghreb, qui connaît regain de renouveau, rejetant la fuite de responsabilité des écrivains de l’ancienne génération, s’engage dans l’affirmation de l’identité maghrébine, la lutte contre les travers sociaux. On voit, à partir de là, la plupart des œuvres comme Le Passé simple de Driss Chraïbi, La répudiée » de Rachid Boudjedra, Le Pain nu de Mohamed Choukri et tant d’autre, se construire autour des thèmes de la violence, la révolte contre le père représentant à la fois le pater familial tyrannique et une société parfois étouffante pour l’individu –chez Chraïbi et Choukri, la mère peut être faible, comme « La répudiée » de Rachid Boudjedra, une mère généralement perçue comme aimante vis-à-vis de ses enfants.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherELMERGIB UNIVERSITYen_US
dc.titleLa femme, l’enfant et la violence familiale dans le roman marocain, le cas de : Le Passé simple de Driss Chraïbien_US
dc.typeArticleen_US


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